Il est écrit dans la bible qu’Adam était l’homme le plus heureux au monde, et que jamais un autre homme ne sera aussi heureux que lui. Des scientifiques ont entrepris une recherche exhaustive afin de déterminer la source de son bonheur. Cette recherche devait durer plusieurs mois, or, elle s’arrêta nette après quelques heures seulement. Vous savez pourquoi? Un des scientifiques s’est aperçu qu’Adam n’avait pas de belle-mère…
Comment doit-on considérer une belle-mère?
– Une belle-mère c’est comme une étoile il faut l’admirer mais de loin.
– Une belle-mère c’est comme une étoile il faut l’admirer mais de loin.
Une mère à sa fille:
– Ton fiancé est vraiment pas malin: ça sera plaisir d’être sa belle-mère.
– Ton fiancé est vraiment pas malin: ça sera plaisir d’être sa belle-mère.
Deux amis se rencontrent sur le parking du vétérinaire:
– J’emmène mon chien chez le véto parce qu’il a mordu ma belle-mère.
– Ah bon, tu ne vas quand même pas le faire euthanasier?
– Non, tu rigoles… Je viens pour lui faire aiguiser les dents.
Comment distinguer les bons champignons des mauvais?
– Servez-les à votre belle-mère. Si elle tombe malade, c’est qu’ils sont bons.
– Servez-les à votre belle-mère. Si elle tombe malade, c’est qu’ils sont bons.
Une femme appelle son mari.
– Chérie?
– Ouais! Qu’est-ce que tu me veux encore?
– L’autre jour, j’ai acheté un livre et je ne le retrouve plus. Tu te souviens, il s’appelait "l’art de devenir centenaire. Qu’est-ce que tu en as fait?
– Je l’ai jeté.
– Tu as du culot, je l’avais payé avec mon argent! Pourquoi l’as-tu jeté ?
– Parce que j’ai vu que ta mère commençait à le lire.
– Chérie?
– Ouais! Qu’est-ce que tu me veux encore?
– L’autre jour, j’ai acheté un livre et je ne le retrouve plus. Tu te souviens, il s’appelait "l’art de devenir centenaire. Qu’est-ce que tu en as fait?
– Je l’ai jeté.
– Tu as du culot, je l’avais payé avec mon argent! Pourquoi l’as-tu jeté ?
– Parce que j’ai vu que ta mère commençait à le lire.
Monsieur le Ministre de la Défense Nationale,
Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l’appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide. Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille.
A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu’il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu’elle est la femme de mon père. Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En conséquence, mon oncle, puisqu’il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle. La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère puisqu’il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu’il est le fils de la fille de ma femme. Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d’une personne est le père de celle-ci, il s’avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.
De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l’obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.
Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’expression de mes sentiments les meilleurs….
PS: Pour la petite histoire, il a été réformé pour: état psychique instable et préoccupant, Troubles mentaux aggravés par un climat familial très perturbant
Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l’appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide. Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille.
A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu’il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu’elle est la femme de mon père. Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En conséquence, mon oncle, puisqu’il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle. La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère puisqu’il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu’il est le fils de la fille de ma femme. Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d’une personne est le père de celle-ci, il s’avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.
De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l’obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.
Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’expression de mes sentiments les meilleurs….
PS: Pour la petite histoire, il a été réformé pour: état psychique instable et préoccupant, Troubles mentaux aggravés par un climat familial très perturbant
La jeune femme à son mari qui vient de rentrer du travail:
– "Chéri, j’ai une grande nouvelle pour toi: très bientôt nous serons 3 dans cette maison au lieu de 2!
Le mari est fou de joie et embrasse sa femme qui poursuit
-… Je suis bien contente que tu le prennes comme ça. Maman arrive demain matin!"
– "Chéri, j’ai une grande nouvelle pour toi: très bientôt nous serons 3 dans cette maison au lieu de 2!
Le mari est fou de joie et embrasse sa femme qui poursuit
-… Je suis bien contente que tu le prennes comme ça. Maman arrive demain matin!"
La belle-mère vient de rendre l’âme. Son gendre se rend au funérarium pour l’achat de la bière. Le patron lui présente un cercueil en ébène à 2500 Euros.
– Le gendre: vous n’avez pas moins cher?
– Le vendeur: oui, en chêne d’excellente qualité à 1250 Euros.
– Le gendre: c’est encore trop onéreux!
– Le marchand: d’accord, je vous en présente un en sapin pour 500 Euros.
– Le gendre: vous savez, pour une belle-mère!
– Le vendeur: dernière possibilité, en voici un en pin et de remploi à 125 Euros.
– Le gendre demeure terriblement imperturbable, l’air très embarrassé. Vous n’avez vraiment rien de moins coûteux?
– Le vendeur: bon, ça va! Donnez-moi 10 Euros et je lui mettrai quatre poignées!!!
– Le gendre: vous n’avez pas moins cher?
– Le vendeur: oui, en chêne d’excellente qualité à 1250 Euros.
– Le gendre: c’est encore trop onéreux!
– Le marchand: d’accord, je vous en présente un en sapin pour 500 Euros.
– Le gendre: vous savez, pour une belle-mère!
– Le vendeur: dernière possibilité, en voici un en pin et de remploi à 125 Euros.
– Le gendre demeure terriblement imperturbable, l’air très embarrassé. Vous n’avez vraiment rien de moins coûteux?
– Le vendeur: bon, ça va! Donnez-moi 10 Euros et je lui mettrai quatre poignées!!!
C’est un homme qui suit 2 corbillards en pleurant.
Il est suivi par une file d’autres hommes.
Un gars s’approche de celui qui pleure et commence à parler avec lui:
– Qu’est ce qui s’est passé?
– Dans le premier corbillard, il y a ma femme qui a été tué par mon chien.
– Et dans le second corbillard?
– Il y a ma belle-mère qui a été tué par mon chien.
– Ah oui, et il est à vendre votre chien?
– Ben oui, mais il faut faire la queue avec les autres…
Il est suivi par une file d’autres hommes.
Un gars s’approche de celui qui pleure et commence à parler avec lui:
– Qu’est ce qui s’est passé?
– Dans le premier corbillard, il y a ma femme qui a été tué par mon chien.
– Et dans le second corbillard?
– Il y a ma belle-mère qui a été tué par mon chien.
– Ah oui, et il est à vendre votre chien?
– Ben oui, mais il faut faire la queue avec les autres…
Une belle-mère à son gendre:
– Vous me ferez mourir de chagrin
Le gendre:
– Tant mieux! Comme ça, on retrouvera pas l’arme du crime!
– Vous me ferez mourir de chagrin
Le gendre:
– Tant mieux! Comme ça, on retrouvera pas l’arme du crime!
Deux types se rencontrent:
– J’ai appris que ta belle-mère n’avait plus que deux mois à vivre?
– M’en parle pas…Elle a déjà une semaine de retard!
– J’ai appris que ta belle-mère n’avait plus que deux mois à vivre?
– M’en parle pas…Elle a déjà une semaine de retard!
Madame est en train de lire son courrier au petit-déjeuner. Tout à coup, elle lance à son mari un regard soupçonneux:
– Je suis en train de lire une lettre de ma mère. Elle dit qu’elle ne peut pas accepter notre invitation à venir passer quelques jours ici à la maison… Elle dit qu’elle a l’impression qu’on ne veut pas vraiment d’elle. Peut-être peux-tu m’expliquer ce qu’elle veut dire par là? Je t’avais dit de lui envoyer un petit mot pour lui dire qu’elle pouvait passer à sa convenance, qu’est-ce que tu lui as écrit?
– Ben… Heu… C’est à dire que… Voilà, en fait, je ne savait pas comment écrire "à votre convenance" alors j’ai remplacé par ça par "à vos risques et périls"…
– Je suis en train de lire une lettre de ma mère. Elle dit qu’elle ne peut pas accepter notre invitation à venir passer quelques jours ici à la maison… Elle dit qu’elle a l’impression qu’on ne veut pas vraiment d’elle. Peut-être peux-tu m’expliquer ce qu’elle veut dire par là? Je t’avais dit de lui envoyer un petit mot pour lui dire qu’elle pouvait passer à sa convenance, qu’est-ce que tu lui as écrit?
– Ben… Heu… C’est à dire que… Voilà, en fait, je ne savait pas comment écrire "à votre convenance" alors j’ai remplacé par ça par "à vos risques et périls"…
Ma belle-mère est morte la semaine dernière.
Toute mes condoléances.
Et qu’est-ce qu’elle avait?
Oh! pas grand-chose, 1 table et 2 chaises.
Toute mes condoléances.
Et qu’est-ce qu’elle avait?
Oh! pas grand-chose, 1 table et 2 chaises.
Une mère à sa fille:
– Ton fiancé est vraiment pas malin: ça sera délicieux d’être sa belle-mère.
– Ma belle-mère a été mordue par un chien errant hier dans la rue.
– Oh c’est terrible.
– Oui, tu aurais dû voir ce pauvre chien mourir dans d’atroces convulsions.
– Ton fiancé est vraiment pas malin: ça sera délicieux d’être sa belle-mère.
– Ma belle-mère a été mordue par un chien errant hier dans la rue.
– Oh c’est terrible.
– Oui, tu aurais dû voir ce pauvre chien mourir dans d’atroces convulsions.